• Dans une interview accordée en plein SAST à New York pour la télé japonaise, Madonna a annoncé qu'elle et son staff mettent actuellement tout en oeuvre pour faire passer la tournée Sticky & Sweet Tour par l'Asie, principalement au Japon ! Elle annonce que rien n'est fait, mais qu'elle l'espère vraiment !

     


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  • Une scénographie à couper le souffle, 12 danseurs, des projections vidéo plus grandes que nature, des apparitions virtuelles de Britney Spears, de Justin Timberlake, de Timbaland, de Pharrell Williams et de Kanye West, huit changements de costumes… Les artifices sont nombreux à vouloir voler la vedette de ce Sticky and Sweet Tour. Et pourtant, aucun d’entre eux ne brille autant que la madone qui, à 50 ans, peut encore se vanter de donner les spectacles les plus excitants en ville.

    De passage à Montréal, hier soir, pour le premier de deux concerts à guichets fermés au Centre Bell, la chanteuse a confirmé qu’au royaume de la pop, elle était la seule à régner.

    C’est d’ailleurs sur un trône que la souveraine s’est présentée à sa cour de 17 861 spectateurs. Vêtue d’un déshabillé de satin noir Givenchy et chaussée de bottes de dominatrice (un subtil clin d’œil à son époque sado-maso du début des années 1990), la Material Girl a ouvert les festivités avec l’entraînante Candy Shop, l’une des chansons phares de son dernier album à saveur hip-hop, Hard Candy.

    La star interprète 9 des 12 titres de cet opus au cours du concert. Pour le reste, elle pige dans son immense répertoire de tubes, un large catalogue s’échelonnant sur un quart de siècle.


    Au goût du jour

    Grâce à de nouveaux arrangements, les succès du passé font leur entrée au 21e siècle avec panache. Mixée avec 4 Minutes, Vogue marque l’un des moments forts de la soirée.

    Soutenu par une choré­graphie alliant poses sexy et mouvements urbains, le numéro est la preuve parfaite qu’une bonne mélodie ne se noiera jamais sous une pluie de rythmes lourds.

    Music, à laquelle on ajoute un échantillon de Put Your Hands Up For Detroit, une bombe dance faite sur mesure pour les boîtes de nuit, perd son petit côté kitsch 80, mais retrouve son facteur cool. La métamorphose techno trance infligée à Like A Prayer est aussi salutaire. Même son de cloche pour Borderline, une jolie ritournelle pop qui se déguise en un hymne punk-rock fort convaincant. On se serait cru dans un concert de Blondie à la fin des années 1970.

    On ne peut malheureusement pas dire la même chose de Hung Up, un délicieux hommage au disco qu’une avalanche de distorsions vient carrément déna­turer. Madonna a beau agripper sa guitare avec arrogance, on aurait préféré la voir se déhancher dans un léotard échancré.


    Au-delà de la mécanique

    Sur scène, Madonna ne passe pas son temps à faire des tatas au public, à lui envoyer des baisers ou à lui crier : «Je t’aime, Montréal!» De ces petits signes d’affection qui font tant plaisir à la foule, la blonde ambitieuse n’a rien à faire. Madonna ne fait pas semblant d’être notre amie. Quand elle porte sa main à sa poitrine, ce n’est pas pour nous montrer à quel point nos applaudissements lui réchauffent le cœur… Bien au contraire!

    La blonde ambitieuse connaît une seule façon de montrer sa reconnaissance à ses fans : donner le meilleur spectacle possible, jurons et grossièretés en sus. Lors de ses quelques allocutions à l’auditoire, l’icône ne met pas de gants blancs. «Je ne vous entends pas! Ce n’est pas assez fort!» lance-t-elle à une foule déjà hystérique.

    Froide, la madone? Moins qu’on le croit. Hier soir, elle multipliait les sourires et les grimaces complices.

    Certes, ce Sticky and Sweet Tour n’a pas été conçu pour arracher les larmes aux plus insensibles. Si c’est le cas, plusieurs ajustements s’imposent (les séances de danse poteau et d’acrobaties à la corde à danser sur la colorée Into The Groove incitent plutôt à la fête).

    Le concert comporte néanmoins quelques moments émouvants. Il suffit simplement de regarder au-delà du contenant – aussi impressionnant soit-il – pour pouvoir les déceler.

    Offerte en formation acoustique sur une petite scène disposée au centre de l’amphithéâtre, You Must Love Me en a touché plus d’un. Tirée de la comédie musicale Evita, la jolie ballade a soulevé des applaudissements nourris des spectateurs qui ont sans doute apprécié la simplicité et la sincérité de l’interprétation de la chanteuse.

    Même réaction pour Miles Away, un morceau traitant de l’amour à distance. Composé l’an dernier, le titre lève le voile sur la relation qui unissait la star au cinéaste Guy Ritchie. «Tu as toujours le cœur plus grand quand 6 000 miles nous séparent», chante la Material Girl.

    Au moment de mettre sous presse, Madonna n’avait toujours pas entonné son plus récent tube, Give it 2 Me, dans lequel elle clame qu’elle peut continuer «encore et encore». Pas besoin de le souligner. On l’avait déjà remarqué.


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  • Madonna est actuellement en visite aux Etats-Unis avec son «Sticky & Sweet tour" et a déjà effectué un total de 26 spectacles à travers l'Europe et l'Amérique du Nord. 

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    !

     


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